La base solide, ordonnée, rigide
La lumière trompe l’oeil
On déconstruit son regard
On façonne une nouvelle structure
Souple, ajourée, flottante
C’est palpable, cette gêne pour accéder au volume, pour l’identifier.
La présence d’une architecture est délibérément ambiguë, on la ressent plus qu’on ne la perçoit.
Et pourtant, cette chose semble monumentale. Ça saute aux yeux comme le nez au milieu de la figure ? N’est ce pas ?
On vous montre un aplat blanc : qu’est que c’est ? Eh bien, un mur blanc, naturellement.
Il s’agit dans cette série de déformer l’architecture, non pas objectivement, mais dans sa présentation, comme si elle flottait et n’était pas fondée. La perception de ces structures solides est comme biaisée.